S’engager à changer le monde, un geste à la fois

Depuis que je suis mère, je tiens de plus en plus à contribuer à la création d’un monde meilleur dans le futur. L’une des choses que j’aime le plus de mon travail chez IKEA, c’est de savoir que notre mission est « d’améliorer le quotidien du plus grand nombre ». Je suis fière de savoir que chacun de mes gestes et que chacune de mes décisions améliore d’une certaine façon le quotidien des gens.
En novembre 2019, j’ai été choisie avec quatre autres collaborateurs de IKEA Canada pour voyager en Eswatini, en Afrique, et témoigner du travail qui y est effectué par Médecins Sans Frontières (MSF) avec l’appui de la Fondation IKEA. En Eswatini, c’est dans ce pays où l’incidence du VIH est la plus élevée au monde. Le taux de gens atteints de la tuberculose est également critique. Le projet Eswatini de MSF offre à la communauté des traitements contre le VIH et la tuberculose, ainsi que des services d’éducation et des infrastructures sanitaires.
Les personnes qui travaillent pour MSF sont dévouées. Nombulelo fournit des services d’éducation sanitaire pour enseigner aux membres de la communauté comment utiliser les tests d’autodépistage du VIH et les sensibiliser aux risques et à la prévention du VIH. Autrefois, ce genre de discussion était considéré comme tabou, mais grâce au travail de sensibilisation de MSF, les communautés sont désormais aptes à se protéger elles-mêmes et à faire les bons choix pour prévenir la propagation du VIH et de la tuberculose.

Le projet a permis de créer des cliniques de santé communautaire dans les centres urbains faciles d’accès où les gens se rendaient déjà, comme les quartiers commerçants. Nombre de patients doivent marcher de deux à trois heures à l’aller et au retour pour recevoir de l’aide médicale, et c’est pourquoi ces cliniques communautaires rendent les soins de santé beaucoup plus accessibles pour la majorité des gens.

À la fin de notre voyage, nous avons demandé au personnel de MSF et à nos hôtes locaux comment nous pouvions les aider. Ils nous ont simplement demandé de faire part de leurs témoignages et de partager notre expérience en Eswatini, et c’est pourquoi je vais continuer de sensibiliser les gens qui m’entourent sur ce sujet. Je me sens engagée à partager mon expérience et ce que j’ai vu. Et je me sens engagée à changer le monde par mes gestes.